Omar Rasim est né à Alger en 1884. Il a reçu son éducation auprès de ses écrivains, puis il a étudié à l'école Thalabiya pendant une courte période, puis il s'est appuyé sur lui-même pour se former. C'est un intellectuel algérien bilingue qui est célèbre pour son travail politique, notamment ses activités journalistiques.

Omar Ben Keddour était attaché à la presse et a commencé à publier ses articles réformateurs dans plusieurs journaux algériens et arabes pour sensibiliser les esprits algériens et se tenir aux côtés des communautés musulmanes opprimées. Il a écrit des poèmes et de la prose pour les soutenir.

Il était l'un des intellectuels qui ont consacré leur vie au service de la science et de l'éducation, et il a commencé sa vie pleine d'activités comme enseignant. Il avait l'habitude de répandre ses idées parmi ses élèves, à l'instar des enseignants réformistes de cette période (Abdel Kader Medjaoui)

Il est considéré comme l'un des mashaikh (érudits) entre les mains duquel s'est éduqué et a formé l'élite cultivée, il était exceptionnel, récitateur d'al hadith, imam en jurisprudence fiqh et monothéisme science sur l'école Maliki, il a travaillé toute sa vie sur l'éducation , des conseils et a fait la rhétorique fatwa.

Il était l'une des personnalités nationales qui ont contribué à former le mouvement national algérien, il s'est tellement efforcé de tirer parti de sa vaste culture et de sa grande connaissance des cultures du monde extérieur pour promouvoir la communauté algérienne. Ses voyages ont eu un grand impact sur le développement de ses idées, alimentant ses sentiments envers l'identité islamique, et l'identité nationale ainsi que sa prise de conscience sur le sous-développement de son pays par rapport aux autres pays du monde.

Il est l'un des visages culturels modernes en Algérie Il a été le leader en entrant à l'école officielle et à la faculté des lettres d'Alger. Sa vie universitaire a joué un grand rôle dans l'élargissement de ses connaissances et de sa culture et la maîtrise de certaines langues étrangères a fait augmenter davantage ses connaissances.

était l'un des pionniers de la renaissance intellectuelle et culturelle et l'une des personnalités algériennes les plus brillantes qui ont joué un rôle éminent au cours du premier quart du XXe siècle et l'un des réformistes les plus en vue qui a ouvert la voie à l'émergence du mouvement réformiste en L'Algérie au début des années 20, Abou Kacem Saad Allah estime qu'il n'y a pas d'intellectuel algérien qui ait compris et marqué l'histoire du pays comme l'a fait Ibn el Mouhoub.

Il est né en 1848 à Tlemcen, un descendant de Abdelkader Medjaoui ,Ibn Abd Allah ,Ben Mohamed Ben Abd El karim ,Ibn Abderrahman, Ben issa Ben Daoud, Ben Abi Hennech ,Ben Khamlich Ben Ali ,Ben Mohamed Ibn Abd El Djalil El Mehssni nommé El Medjaoui en référence à la tribu Medjaoua dans la ville de Taza au Maghreb extrême (maroc) , son grand-père s'est installé à Tlemcen et y a travaillé comme scribe.

Ahmed Toufik ben Mohamed ben Ahmed el Madani el Koubi el Ghernati. Son père a déménagé avec sa famille en Tunisie et il est né Ahmed Toufik le 1er novembre 1899 après JC, son père l'emmenait à la prière et lui parlait de sagesse et de conseils, et lui parlait des crimes du colonialisme en Algérie , il entre au kuttab (école élémentaire musulmane) et à dix ans il passe à l'école coranique où il apprend par le shouyoukh les principes de la langue arabe et des sciences religieuses, l'arithmétique et la chimie, les sciences naturelles et les principes de la langue française .

Buluggin ben Ziri ben Menad l'un des rois de Sanhaja qui régna sur le Maghreb occidental et le Maghreb moyen du 4 au 6 AH, il se tint aux côtés de son père Ziri ben Manad lors des guerres menées pour soutenir la dynastie fatimide ; émergeant au maroc, et pour renforcer le côté sanhaji en méritant le royaume.

Thaalbi est Aissa ben Mohamed ,Ben Ahmed, Ben Amer de la lignée de Djaafar ben Abi Taleb descendant de Abd al Rahman al Thaalbi el Djazairi

Mohamed ben Moustafa Khouja a étudié sous la direction du cheikh Mohamed Ibn Said ibn Zakari qui était considéré comme l'un des partisans des réformes du système éducatif et l'un de l'élite conservatrice. Ibn Khouja était contre les hérésies et a vu que l'adhésion à l'islam suffisait à sauver les Algériens de la civilisation occidentale. Cependant, cela ne signifie pas qu'Ibn Khouja n'était pas ouvert d'esprit, sa vision était simplement rationnelle concernant les problèmes de l'époque où il a consacré sa vie au service de l'islam et du pays.

Imam mohamed Ben Abd al karim al Maghily un célèbre érudit en jurisprudence, tafsir (exégèse du Coran), hadith (paroles du prophète) et logique.